Enlèvement?

Le jeune homme accepta la demande D'Asao d'un hochement de tête et se tourna un peu pour lui donner le champs libre.Ainsi, les chevaliers d'Émeraudes ne prenaient pas seulement les hommes, mais les femmes également.Il jeta un coup d'oeil discret a la jeune fille et l'évalua pendant quelques secondes.Elle semblait bien à l'aise avec ses pouvoirs de guérison, mais le soupçonnait-elle de quoique se soit?

Quand elle eut fini de le soigner, il se releva avec la satisfaction de ne plus sentir aucun élancement ni dans son dos, ni sur ses bras ou ses jambes.Il adressa un grand sourire à sa sauveuse et lui tendit une main pour l'aider à se relever à son tour.Soudainement, il la tira un peu plus près de lui, de sorte que sa bouche ne soit qu'a quelques centimètre de l'oreille de la femme chevalier et son sourire disparu instantanément.

«Votre réputation vous précède Chevalier, mais je crains malheureusement qu'elle ne vous surestime.Vraiment, merci tout de même pour le petit coup de main. Sa aura été un plaisir de faire votre connaissance. »

Il se recula un peu, les mains toujours sur les hanches de sa vis-à-vis.


( HJ: Désolé du retard et du court post, mais je peux pas vraiment faire mieux pour le moment ^^' )

Marchant toujours avec cette détermination incroyable, je m'arrête soudainement, le souffle coupé. Ce n'est pas loin et cela m'inquiète. Je tiens beaucoup à mes petits humains, et... la vague que je venais tout juste de ressentir au plus profond de mes entrailles n'avaient réussis qu'à me déstabilisé. Cette urgence me tiraillait autant qu'elle devait tirailler une mère voulant protéger ces petits. Malheureusement, je ne devais, et ce, en aucun cas, m'en mêler. Ce n'était pas ma tâche d'intervenir dans leurs épreuves, mais je ne puis m'y échapper. Je couru aussi rapidement que mes petites jambes de jeune enfant me le permettaient, pour ensuite m'arrêter d'un mouvement sec.

Je n'avais pas eu besoin de chercher, je sentais la haine autour de moi. J'avais peine à respirer cet air qui, à mes yeux, me semblait aussi brûlant que le soleil. Non loin de l'endroit où je me trouvais, l'on pouvait apercevoir deux gens. Un frisson parcourut mon corps alors que je me collais contre l'arbre, souhaitant qu'ils ne puissent pas me voir. J'aurais pu exhausser ce souhait, mais par la suite, il m'aurait été bien plus dur de taire mon rang céleste. Tout ce que l'on pouvait ressentir de ma part était que j'étais une petite gamine, sans plus. Nul pouvoir magique à l'horizon.

De mes iris bleu-vert, je ne cessais de les observer, sans bouger. Retenant mon souffle sous la tension. Cet air me brûlait les poumons alors que je regardais la chevalière, arme au poing, devant un jeune homme qui, d'apparence, ne semblait pas si dangereux. Hors, étant l'exemple même de ne pas se fier aux apparences, je ne pouvais que douter de lui si la défenseure d'Enkidiev réagissait de cette façon.

L'arbre derrière lequel je me trouvais me cachait aisément, vue ma petite taille, mais... Je ne doutais pas d'un iota que mes cheveux si particulier devait être assez voyant, et partant du principe que j'arrivais à les voir, il était sûr, ou presque, qu'ils pouvaient me voir. Intérieurement, je me posais bon nombres de questions. Dont "Que fait-il là? Que manigançait-il? Pourquoi être venu si près du château d'Émeraude?". Pour tout dire, je ne comprenais pas son agissement et encore moins sa manière d'agir et, personnellement, il m'inquiétait. C'est donc avec maladresse que j'accrochai une branche en me penchant légèrement pour mieux voir...

(Je peux modifier si nécessaire)

( Non je crois qu'il n'y a rien à changer Je laisse Yoshi répondre car là je n'ai pas beaucoup de matière... )

Yoshi avait dû reculer de quelques pas quand la jeune femme l'avait repoussé pour dégainer sa lame, mais il resta parfaitement immobile lorsqu'elle la pointa sur lui.C'était parfois si ennuyant sur Enkidiev, il en venait à se demander pourquoi il préférait ce continent à celui de l'Imépratrice.Il poussa un soupir las et détourna les yeux en captant un mouvement du coin de l'oeil, il examina les alentours et vit pendant une fraction de secondes une petite silhouette qu'il associa rapidement à un enfant.Il sourit imperceptiblement et reporta son regard sur le chevalier apparement indéci

« Vous pourriez poser cette question à cette jeune fille ici présent aussi, mais outre le fait que nous ne soyons plus seuls, je vais vous faire plaisir et vous dire d'où je viens, je viens du royaume des elfes, je suis sûr que vous le saviez déjà, s'aurait été difficile de le cacher. non? »

Il avait décidé de rester le plus près possible de la vérité pour ne pas eveiller d'avantage de soupçons, mais de toute manière, techniquement, il ne m'entait pas vraiment.Il s'avança jusqu'à ce que la pointe de la lame atteingne son torse et passant du vouvoiement au tutoiement en faisant glisser un doigt sur le plat de l'épée, il lui demanda

« Est-ce que tu va me tuer Asao? En aura tu le courage? »

Un sourire ironique apparu sur ses lèvres, il mettrait sa main ;a couper qu'elle n'essairait même pas de le tuer, de plus l'enfant soigneusement caché derrière l'arbre l'en dissuadrait à coup sûr, si il c'était trompé sur la personnalité de la femme chevalier.Allait-elle le tuer?Ou lui accorder sa confiance?

Asao était franchement perdue. Elle avait détourné qu'une petite seconde de Yoshi pour porter son regard sur l'enfant caché derrière l'arbre. Quand son intention retourna de nouveau à Yoshi, celui-ci c'était approché de son arme et y avait même posé ses doigts dessus.

La femme Chevalier aurait dû reculer, mais quelque chose lui faisait penser qu'il n'avait pas vraiment l'intention de lui faire du mal. De moins pas devant la fillette.

Asao recula d'un pas et à baissa son arme. Yoshi avait raison. Elle ne pouvait pas l'attaquer, pas devant cette spectatrice . Sans vraiment perdre de vu Yoshi, Asao s'approcha de l'arbre où la fillette se trouvait. L'étrangère était... étrange. Ses cheveux était de couleur bleu-vert et son physique cachait quelque chose d'inhumain.

- Que fais-tu ici petite demoiselle ?

Asao jetta un coup d'oeil derrière elle où se trouvait encore Yoshi. Elle ne savait vraiment plus quoi en penser de lui. Serait il lunatique à ce point ? Elle reporta cependant une petite partie de son intention sur la fille qui se tenait devant elle. Peut-être qu'elle était aussi dangereux que Yoshi ? Ou peut-être étaient-ils complice ? Asao commençait de se faire du souci pour sa peau...

Pauvre petite fille. Que fais-tu là, à les regarder? Ne penses-tu pas que tu devrais y retourner? Dans le forêt interdite, où ce trouve ton temple. N'y avais-tu pas trouvé refuge avant sa mort? Pourquoi en es-tu partie? Parfois, je me pose moi-même ses questions. Je ne comprends pas, moi-même, mon agissement, mais j'avais juste l'envie d'aller au royaume de Shola. Est-ce que cela allait causer ma perte? D'écouter mon instinct... Je n'en sais rien, mais je sais parfaitement ce qui se trouve devant moi. Un homme et une femme, un être ayant choisi de tuer et un autre ayant choisi de sauver des vies. Lequel des deux me remarquera en premier? Je me le demande, tout comme j'aimerais que cette question n'existe pas. Surtout qu'il fallait bien se l'avouer, voir une jeune fillette d'environ cinq ans avec des cheveux bleu-vert, c'était rare à voir.

Surtout que mes yeux l'étaient aussi. Mon apparence est purement humaine, si on exclut la couleur de mes cheveux, de mes yeux et de ma peau, qui est blanche comme un drap. Heureusement, d'autres humains, normaux, le sont aussi, alors je peux dire tout simplement que je passe le plus clair de mon temps à l'ombre, loin du soleil. Ce qui n'est pas faux en fait. Parce que je vais rarement au soleil, j'évite que l'on me croise ou que l'on m'aperçoit. Je n'ai pas le droit d'intervenir en faveur des humains, je dois rester impartiale, mais c'est tellement dur! Je voudrais tellement les aider!
Alors que je les regarde de derrière l'arbre, je m'aperçois qu'ils m'ont tous les deux remarqués. Je me mords la lèvre inférieur en me reculant légèrement, me cachant d'avantage derrière l'arbre. Je ne veux pas lui répondre, je ne veux pas qu'il se fasse du mal!

Tout à coup, je relève la tête, choquée. Je les entends, j'entends leurs pensées comme si je lisais dans un livre. Ce n'est pas voulu, cela en a toujours été ainsi. J'ai beau essayé de ne pas les entendre, je le entends toujours. Je tombe à genoux sur la mousse verte et me tiens la tête, m'évitant de peu de crier. NONNN!! JE NE VEUX PAS VOUS ENTENDRE!! Je ne suis pas avec lui! Il ne vient pas du royaume des Elfes. Je le sens jusque dans ma moelle, là, maintenant, il ne vient pas de ce royaume! Sans vraiment le vouloir, un son s'échappe de ma bouche. Un simple murmure, mais qui me paralyse..

- Mensonge.

Elle résonne encore dans ma tête alors que je relève un regard horrifié sur ces deux personnes. Je voudrais disparaître, là, maintenant! Mais c'est déjà fait, il est trop tard. J'aimerais partir en courant, seulement, je suis paralysée. Je les regarde, les yeux ronds, n'arrivant toujours pas à croire que j'ai parlé. Mon coeur se sent mieux, mais mon âme, c'est une tout autre histoire... Je n'ai pas le droit d'intervenir! Je devrais disparaître!! Je n'ai même pas répondu au Chevalier, je n'y arriverais pas de toute façon. J'ai le droit d'exister, comme spectatrice, mais j'ai enfreint cette règle...

Asao ne comprit pas ou la jeune enfant voulait en venir avec son commentaire. Mais Yoshi lui avait l'air d'avoir comprit. L'esprit lent d'Asao ne comprit que plus tard, quand Yoshi c'était déjà approché de la fillette et qu'il s'apprêtait à partir, que cet étranger ne venait surement pas que du Royaume de la Forêt.

La femme Chevalier avait encore sa longue épée légère en main, elle n'eut cas tendre le bras pour la pointée sur Yoshi toujours agenouiller près de l'enfant. S'il devait retourner sa veste, Asao n'aurait cas donner un coup de pointe pour transpercé la tête de cet inconnu. Peut-être que ce geste choquerai l'enfant mais celle-ci serait d'autant plus choqué si elle venait à mourir par la faute de Yoshi.

- Arrêtez de vous moquer de moi Yoshi. D'où venez-vous vraiment ?



Asao était vraiment vraiment très tendu, sa voix tremblait presque et ses muscles lui faisait un peu mal.

Derrière l'épaule de Yoshi, la femme Chevalier put revoir la fillette. Elle semblait soucieuse de quelque chose. Asao redouta de plus en plus d'apeuré l'enfant mais elle se convaincu toute seule en s'imaginant l'enfant éventrée devant elle.

Bien qu'elle eut confiance en ses pouvoirs, elle pria tous les dieux de lui venir en aide s'il arrivait malheur.

Une jeune enfant,voici ce dont elle avait l'air. Mais la vérité était tout autre. Elle ne pouvait ni le dire ni leur montrer, ce qui aurait été risqué avec cet homme. Juste au moment où elle prononçait un petit mot, elle le vit la regarder différemment. Elle porta instinctivement sa main à sa bouche, l'air d'avoir honte de ce qu'elle avait dit, comme si elle souhaitait, tout à coup, se cacher. La jeune fillette le ressentait, elle avait attisé son intérêt. Un frisson parcouru sa colonne vertébrale alors qu'elle reculait d'un pas, à son approche. Cherchant en vain de s'éloigner de lui. Elle entendit ses pensées, c'était aussi clair que de l'eau de roche, mais elle ne pouvait plus rester là à ne rien faire. Elle se mit à avoir peur, la peur tenaillait son ventre alors qu'elle percevait cette menace à peine voilée. Son regard la poursuivait, elle ne voulait pas, elle voulait partir, se cacher. Mais elle n'arrivait as à bouger.

Toujours près de l'arbre, elle se mit à se coller contre lui, comme si elle voulait s'y fondre. Ce n'était pas évidant, mais pour elle, si elle l'aurait vraiment voulu, elle aurait pu. C'était pourtant si simple de se laisser aller avec la conscience de l'arbre, mais que lui aurait-il arriver par la suite? Et la jeune femme? Qu'est-ce qui se serait passé? Aurait-elle été blessé? Elle ne pouvait pas la laisser, surtout... Un éclair traversa sa conscience. Peut-être à cause de la distance, ou bien, peut-être parce qu'elle la voyait, son souhait lui parvint comme une brûlure. La jeune enfant se tint la poitrine, au niveau du coeur, alors qu'elle poussait une petite plainte. Elle l'avait entendu. C'était la prière de la femme chevalier. La jeune fillette la regarda de son regard sans pupille, innocente. Elle se mit à genoux au sol, l'air de rien. Un murmure lui vint aux oreilles alors que le jeune homme disait qu'il devrait peut-être y aller...

Mirana toucha le sol de ses mains alors que des larmes, sans nul raison apparente, coulaient sur ses joues. Étrangement, des feuilles se mirent à bouger légèrement, sous une brise invisible. Elle comprit alors quelle était la peur qu'elle ressentait, c'était celle de la femme chevalier. La jeune enfant, sans vraiment le vouloir, influençait de la végétation en touchant la terre. Elle releva un regard triste vers l'homme... Qui était, à la base, natif du royaume de la forêt. Une étincelle de détermination prit naissance dans ses yeux alors qu'elle disait de sa voix chantante:

- Méchant!

C'était peut-être une erreur et, pourtant, elle n'avait pu se retenir. Telle une jeune enfant innocente, elle disait ce qu'elle pensait sans vraiment avoir d'arrières-pensées. Par contre, dans ce cas-ci, elle en avait peut-être... ou peut-être pas. Prêt à agir, les plantes qui poussaient au sol et qui se situaient tout prêt d'elle ne cessaient de ramper dans la direction de ses jambes. Ses petites jambes repliées sous elle paraissaient bien fragile. Elle les entendait murmurer leur petite comptine. En fait, elle l'entendait tout le temps, mais cette fois-ci, c'était plus fort...

"Douce petite enfant, dis-nous, dis-nous,
Pourquoi te fait-il peur, dis-nous.
N'est-il pas issu de cette terre,
Qui nous est si chère?
Peu importe son chemin
Si il vous touche, nous tuerons
Et ce doux liquide carmin
Couler, nous ferons..."

Elle se mit a avoir mal à la tête, elle ne voulait pas de cette violence. Ce tenant la tête, son visage se crispa dans un masque de douleur. Ne comprenaient-ils pas que la violence ne servait à rien? Même si cela était pour la défendre, elle ne comprenait pas la Terre. Ne savaient-ils pas qu'ils la faisaient souffrir de cette façon? Dans ses pensées, verrouillées à double tour, elle oublia momentanément tout ce qui l'entourait. Les plantes affluant toujours vers elle, lentement, mais sûrement, tels des escargots en marche...

[Fallait me le dire pour éviter que ça dégénère. *Je vais me cacher*]

Une jeune fillette de cinq ans, voilà ce à quoi je ressemblait, moi, naissance de toute chose. Pourtant, bien que mon rang ne me le permettait pas, je ne pouvais m'empêcher de réagir comme une enfant, ce qui était une bonne chose, pour certains points uniquement. Dans le cas contraire, cela pouvait parfois être un très grand défaut, réagir sous une impulsion pourrait surement m'être fatal, un jour. Hélas, je renaîtrait sans doute, puisque, bien évidement, à ma mort, Enkidiev pourrait bien ne plus exister. Le continent pourrait bien se révolter de lui-même, puisque même les plantes faisaient l'impossible afin d'assurer ma survie, au point même de me contredire. Je ne voulait pas qu'il y ait de mort ou de douleur, car, de cette façon, je souffrais, moi aussi. Malheureusement pour moi, c'était là la nature humaine, les maladies les rongeaient, les faisant mourir à petit feu, ou alors, ils décédaient suite à une blessure, que je ressentais comme si elle m'était propre.

Au début, je n'arrivais pas à marcher avec leurs malheurs, mais avec le temps, j'ai réussis à me "séparer" pour savoir ce qui venait réellement de moi ou non. Ayant toujours aussi mal à la tête, je ne vis pas le jeune homme partir ni même Asao approcher vers moi pour ensuite se reculer brutalement, apeurée par les herbes qui affluaient derrière moi. Lorsque je pris de nouveau conscience et que je vis qu'il n'y avait plus de réel danger, les plantes cessèrent de bouger, comme si de vivante, elles étaient devenues inertes. Ce qui était loin d'être le cas puisqu'elles vivraient encore de longues années, à profiter sur soleil et du beau temps. Je me mit à observer Asao, eh non, je n'avais pas besoin d'aide pour savoir son nom, pourquoi? Parce que, bien que je sois née bien plus tard qu'elle, je l'avais tout de même vu "vivre" à travers les yeux de la Terre. Je n'eus rien à demander alors qu'on me murmurait doucement à l'oreille les questions qu'avait posé la femme chevalier.

- Ye suis... Miyana...

Rien à faire, mon côté enfantin venait de sortir, je ne pouvais tout simplement pas parler comme une adulte, bien qu'il s'agissait là de ma manière de penser. Pourquoi étais-je là? Il s'agissait bien d'une bonne question! Que pouvais-je lui répondre? Je suis là parce que j'ai ressentis votre détresse? Non, je ne pouvais pas dire ce genre de chose, après tout, je ne suis qu'une enfant! La regardant droit dans les yeux, innocente et à la fois véridique, bien que cela n'était pourtant pas le cas:

- Ye sais pas... Me suis perdu!

Concernant la question du "Qu'est-ce que c'est que ça?", je décidai de tout simplement l'ignorer, je ne tenais pas à le lui dire, de toute façon, cela m'était tout simplement interdit. Non, pas parce que j'avais des règles strictes à respecter, mais bien parce que je n'avais pas le droit d'influencer sur l'avenir des habitants d'Enkidiev, du moins... Pas pour le moment. Ce fut donc avec une certaine attention que j'attendis sa réaction, me laisserait-elle "passer" sans me questionner davantage, ou serait-elle tout simplement trop curieuse à mon sujet? Sans doute comme le jeune homme, à bien y penser. J'espérais ne pas le revoir, il m'inquiétait. Dorénavant, je savais qu'Irianeth recrutait -ou obligeait? Là était la question!- sur Enkidiev, ce qui ne m'inspirait guère confiance...